Les observateurs annonçaient une stagnation du nombre de ventes dans l’ancien, après les chiffres records. Et pourtant, dans un communiqué publié fin juin, la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) estime que 990 000 ventes seront réalisées sur l’année 2019 : « À la fin mars, sur douze mois, le nombre de transactions a encore battu un record, à 985 000 ventes. La perspective de 990 000 ventes sur l’ensemble de 2019 paraît atteignable. La progression annuelle serait alors de 2,6%. » Des records en partie dus à des taux d’emprunts peu élevés, et qui poursuivent surtout leur chute : les taux ont en effet encore baissé en juillet, « pour atteindre un plancher historique », comme le souligne Challenges.
Et les prix ?
Selon la Fnaim, pas de baisse constatée de manière générale, et une progression de 2,3% par rapport à 2018 : « Au deuxième trimestre, la valeur du mètre carré s’est encore accrue, à un rythme moindre toutefois, et avec quelques exceptions locales de baisse. » Beaucoup de disparités évidemment, mais certaines métropoles tirent leur épingle du jeu : augmentation de 8,2% à Nantes, 5,7% à Lyon ; d’autres accusent une baisse, comme Ajaccio, où les prix ont reculé de 1,4%.
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