Rien ne se perd, tout se stocke. Exhumée des archives du net, cette interview de la Chambre des diagnostiqueurs de la Fnaim date de 2012, lors de la première fiabilisation du DPE. Déjà, on parlait de transparence, déjà on parlait de formation renforcée, déjà il était question d’une amélioration de la méthode de calcul, pour la faire passer de 30 à 60 données d’entrée. Apparemment, cela n’aura pas été suffisant…
