Fin avril, l’InVS (Institut de veille sanitaire) a dévoilé les résultats de son étude menée de 2008 à 2011 sur le saturnisme chez l’enfant. De 2008 à 2011, 23&nbso;793 enfants ont bénéficié d’une première plombémie (mesure du taux de plomb), mais seuls 200 à 300 cas de saturnisme ont été identifiés chaque année ; 972 exactement, relève l’InVS sur la période étudiée. « Les principaux facteurs qui ont conduit à les dépister étaient un habitat dégradé (68%), un habitat antérieur à 1949 (58%), la présence d’autres enfants intoxiqués dans l’entourage (35%) et la présence de peintures au plomb dans l’habitat (31%). »
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Nos précédents articles – « Saturnisme : en quinze ans, la prévalence a été divisée par 20 » – « Plomb : l’Anses recommande d’abaisser les valeurs d’exposition »
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