Plus de 150 questions de députés ou sénateurs, tombées en l’espace de quelques semaines. Et le flot ne se tarit pas : quatre de plus, encore, du côté de l’Assemblée nationale, en date du 18 décembre. Avec toutefois, un petit changement : le ton semble s’être adouci. Si la fiabilité du DPE reste au cœur des préoccupations, et si certains continuent de s’appuyer sur la douloureuse enquête de Que Choisir, d’autres se font désormais l’écho des revendications des diagnostiqueurs. A l’instar du député Christophe Priou (R-UMP, Loire-Atlantique). Accédant à la requête de la Fidi, très active sur le sujet depuis plusieurs semaines – de nombreux courriers ont été expédiés aux députés et sénateurs de France et de Navarre –, l’élu de Loire-Atlantique demande de « surseoir à la mise en place de l’actuel plan de fiabilisation du DPE afin de conduire une réflexion de fond et une concertation permettant de fiabiliser sérieusement le DPE. » Il a d’ores et déjà été entendu, du moins en partie, puisque le report au 1er avril est désormais officiel.
– Lire par exemple la question du député Christophe Priou (R-UMP – Loire-Atlantique)
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