C’est le nombre de communes reconnues en état de catastrophe naturelle pour les dommages causés par le retrait-gonflement des argiles avec l’arrêté du 3 avril 2023.
Un nombre inédit qui s’explique par la sécheresse de l’été dernier et par « la mise en œuvre de la nouvelle méthodologie » qui associe depuis 2019 critère géotechnique (présence ou non d’argiles sensibles au phénomène de retrait-gonflement) et critère météorologique (niveau d’humidité des sols superficiels, mesuré quatre fois par an, à chaque saison), selon maire-info.