Lu dans Capital : les passoires énergétiques auraient de plus en plus de mal à trouver acquéreur. Selon le magazine, cinq mois après son entrée en vigueur, l’étiquette énergétique aurait déjà un effet sensible lors de la négociation. Mal classées, les maisons individuelles des années 1950-1970 excentrées des grands centres urbains, connaîtraient une décote de 5 à 15%. De même que les résidences secondaires en station balnéaire ou de sports d’hiver lorsqu’elles n’ont pas été rénovées. Le magazine évoque également des biens ruraux et semi-ruraux ne trouvant plus preneurs en raison d’un classement fort défavorable.
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