Ex’im mesure l’impact des RT

décembre 05 21:24 2011

Ex’im récidive. Après le buzz provoqué autour de son étude au printemps dernier, le franchiseur venu du Nord dévoile une second étude sur la performance énergétique du parc français (lire précédent article “Ex’im veut relativiser le classement énergétique d’un bien »). Pour nourrir son échantillon, le réseau a compilé quelque 150 000 DPE réalisés à travers toute la France depuis 2006.

Les grands enseignements de la précédente enquête demeurent valables : 80% des logements sont classés en D, E ou F avec une moyenne de 270 kwhEP/m2/an. L’objet de ce second volet est de monter l’impact des différentes RT depuis 1975. « Alors que les biens construits avant 1975 consomment en moyenne 301 kwhEP/m2/an, les logements construits après cette date se situent à 224 kwhEP/m2/an (classe D), et émettent deux fois moins de gaz à effet de serre », relève ainsi Ex’im. L’impact de la RT demeure encore plus conséquent depuis 2000 puisque « les logements construits ces dix dernières années consomment près de 40% d’énergie en moins que la moyenne ».

L’enquête d’Ex’im confirme également d’autres enseignements comme une étiquette énergétique plus favorable au gaz qu’à l’électricité (25% de différence) ou des consommations plus importantes dans les logements de petites surfaces.

http://www.exim-expertises.fr/wp-content/medias/La_performance_energetique_des_logements_francais_Etude_EXIM.pdf

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