Cette fois, il n’est pas question de mérule, mais d’état parasitaire. Geneviève Gosselin-Fleury, députée socialiste de la Manche, interpelle le gouvernement, au travers d’une question écrite, sur l’opportunité d’instaurer un état parasitaire lors d’une vente d’immeuble. De sorte que ce diagnostic ne se bornerait pas aux seuls termites, et prendrait aussi en compte les champignons lignivores et autres pathologies du bois, même si c’est, bien entendu, la mérule qui est visée au premier chef.
« Les normes en ce qui concerne les parasites sont aujourd’hui dépassées, elles interdisent aux diagnostiqueurs toute intervention destructive en limitant leur action au caractère visible du parasite, explique l’élue de Basse-Normandie. Or il semble nécessaire que des recherches plus étendues soient imposées en cas de taux d’humidité supérieur à la moyenne. »
Du coup, la députée préconise de revoir « les dispositions concernant les états parasitaires avant la vente d’un immeuble, afin que les acquéreurs puissent avoir une connaissance complète de l’état du bien qu’ils envisagent d’acheter. »
– Consulter la question écrite
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