Le projet soutenu en 2014 par trois partenaires OPPBTP, INRS et DGT a connu des avancées majeures, comptant la professionnalisation des laboratoires, un protocole de mesurage des empoussièrements adapté sur chantiers, un savoir-faire mis à disposition des acteurs du BTP et 160 résultats de référence déjà acquis. Cependant, la base de données d’empoussièrement amiante est encore incomplète et les valeurs de références jugées insuffisantes, face aux résultats escomptés. D’ici la fin de l’année 2016, les initiateurs espèrent allonger la liste avec 200 mesures supplémentaires. L’objectif est d’établir une cartographie fiable, représentative des travaux effectués dans l’univers du BTP et d’affiner les analyses.
En effet, la constitution de cette base de données est nécessaire pour les entreprises en sous-section 4, afin qu’elles puissent mesurer le risque « amiante » généré sur le terrain et d’établir des modes opératoires de travail adaptés à leurs activités. L’information est aussi très appréciée des donneurs d’ordre lors de l’établissement des dossiers de consultation.
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