Préoccupation grandissante pour le pouvoir politique, corollaire de la performance énergétique dans le bâtiment, la qualité de l’air intérieur fait l’objet d’un sondage montrant combien le public demeure peu informé sur le sujet.
Commandée par Netatmo, entreprise française spécialisée dans les stations météorologiques, et réalisée par Harris, cette enquête montre combien le sentiment d’une bonne qualité de l’air dans le logement reste fortement ancré : aux Etats-Unis (86%) comme en Europe (90%). Autre idée reçue, la plupart des personnes interrogées estiment, à tort, que la qualité de l’air est en général meilleure à l’intérieur qu’à l’extérieur (69% aux Etats-Unis, 66% en Europe).
Parallèlement, « dans tous les pays, les habitants indiquent majoritairement se sentir mal informés sur la qualité de l’air dans leur logement, la manière de la mesurer et les gestes pour l’améliorer », relève l’enquête. Ce défaut d’information apparaît d’autant plus dommageable que la plupart de ces personnes seraient prêtes à adopter des gestes simples comme ouvrir les fenêtres dix minutes par jour.
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